Lors de son discours de réception du prix Nobel, Mère Teresa méduse son auditoire en récitant la prière attribuée à Sainte François d’Assise, un hymne à l’amour …. Cela donne des « idées pour la créativité », créativité à laquelle je suis appelé aujourd’hui. Je prends le temps de me laisser habiter par ces paroles :

Seigneur, faites de moi un instrument de votre Paix !
Là où il y a de la haine, que je mette l’amour.
Là où il y a l’offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l’union.
Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.

Ô Maître, que je ne cherche pas tant
A être consolé … qu’à consoler;
A être compris … qu’à comprendre;
A être aimé … qu’à aimer;

Car,
C’est en donnant … qu’on reçoit;
C’est en s’oubliant … qu’on trouve;
C’est en pardonnant … qu’on est pardonné;
C’est en mourant … qu’on ressuscite à l’Eternelle Vie.